Propos recueillis par Gabriela Martin, édités par Anna Maheu. Travailleuse sociale depuis plus de 20 ans, vous œuvrez à Buenos Aires en Argentine. Comment qualifieriez-vous votre travail ? Je participe à des interventions sociales anti-oppressives. Il s’agit de confronter de manière intersectionnelle la multiplicité des inégalités. En Argentine, nous assistons à une véritable crise de la reproduction sociale, fruit d’un système capitaliste, cishétéropatriarcal et colonial. Violences et discriminations s’expriment en fonction du genre des personnes, de leur classe sociale, mais aussi d’autres ...
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