Cette note fait suite à une première publication du Comité 21 qui définissait la sobriété comme fil vert de la transformation. Pour poursuivre la réflexion, nous nous sommes interrogés sur le rôle de la jeunesse pour conduire cette transformation sobre.
Nous remarquons tout d’abord que les jeunes doivent faire face aux nombreuses crises du 21ème siècle, en plus des inégalités et de leur manque de pouvoir. Ces nombreuses difficultés élèvent un mur face à la bonne volonté des jeunes qui entretiennent donc une relation paradoxale avec la sobriété.
- Alors comment garantir aux jeunes le devenir d’acteurs de la transformation ?
- La jeunesse parviendra-t-elle à mener la transition vers un modèle durable ?
- Ou bien sera-t-elle passagère clandestine dans les bouleversements qui nous attendent ?