La technologie blockchain (ou chaîne de blocs) permet le stockage et la transmission d’informations relatives à des échanges entre utilisateurs, dont elle conserve la mémoire. Elle fonctionne de façon distribuée, sans organe central de contrôle.
Cette technologie ouvre le champ à un large domaine d’applications. L’Ethereum qui en dérive permet par exemple la réalisation de contrats intelligents entre ses utilisateurs, dans des domaines variés (mobilité partagée, alimentation en circuits courts, transition énergétique…). Ces technologies interrogent les modèles de circulation des données.
L’enjeu est de pouvoir constituer de nouveaux écosystèmes, distribués, adaptés aux nouvelles façons de faire ensemble. La question de la maturité de ces nouvelles technologies et de leur capacité à fournir des solutions concrètes et efficaces reste cependant encore ouverte.
Comment mettre les technologies numériques émergentes au service des acteurs du fait associatif ? Au-delà du buzz médiatique, la blockchain et ses dérivés peuvent-ils concrètement soutenir notre pouvoir d’agir ?
Pour répondre à ces questions posées par la Fonda à l’occasion de sa rencontre-débat Fond’après, organisée au NUMA à Paris, trois intervenants étaient réunis :
-*Julien Béranger, auteur, consultant et développeur @julienbrg
- Jean-Christophe Despres, président de Sunny Lake, plate-forme communautaire de santé
- Rieul Techer, co-porteur du projet Daisee, InternetS of Energy et administrateur de la Myne @ryu5t @CallMeDaisee
Pour en savoir plus :
- Découvrez le dossier documentaire associé à l'événement :
- Revivez la rencontre-débat en intégralité :