Première étape : ce mouvement libère la terre de la spéculation foncière et lui redonne sa place en tant que bien commun. Terre de Liens rachète en effet des biens agricoles qui ne trouvent pas de repreneur ou qui risquent de perdre leur usage agricole. Une fois propriété de l'association, les champs ne peuvent plus être rachetés ni artificialisés. En effet, selon un rapport de France Stratégie publié en 2019, plus de cent hectares du patrimoine cultivable français sont grignotés chaque jour par l’habitat (41,9 %), les réseaux routiers (27,8 %) ou les services et loisirs (16,2 %). La France a ...
La suite de cet article est réservée à nos abonnés
S'abonner c’est :
- Avoir accès à tous les contenus de la Fonda
- Soutenir l'action d'une association indépendante et engagée en faveur du monde associatif