Il y a deux façons d’envisager la relation entre l’engagement et les technologies numériques, selon que l’on considère ces dernières comme un vecteur ou comme un objet de mobilisation. Je ne m’étendrai pas sur ce second point, car c’est aujourd’hui à mon grand regret le parent pauvre.
Les mouvements citoyens qui cherchent à résister à certaines dérives liées au numérique — à l’érosion des libertés publiques notamment — se comptent sur les doigts d’une main. Nous manquons cruellement de contre-pouvoir pour construire une société numérique désirable.
Faciliter l'engagement : une utopie fon...
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